Brexit l’angleterre et l’importation automobile anglaise video
Brexit l’angleterre et l’importation automobile anglaise video
Les investissements reculent à cause de l’incertitude générée par le Brexit, l’importation automobile danger . Le secteur revoit ses objectifs à la baisse du Brexit. La Grande-Bretagne ne quittera l’Union européenne qu’en 2019 lors de cette periode Brexit l’angleterre et l’importation automobile danger l’effet prendra son essor, mais la perspective du Brexit pénalise dès aujourd’hui le secteur automobile britannique. L’« incertitude » sur les relations futures entre la Grande-Bretagne et les Vingt-Sept conduit les industriels à « attendre » et à reporter leurs dépenses lorsqu’ils le peuvent, explique Mike Hawes, le directeur du SMMT sur l’automobile et l’importation automobile. Certes, plusieurs constructeurs ont annoncé des investissements emblématiques depuis le référendum de juin 2016 concernant le brexit et l’angleterre annonce les changement qui auront un grand impact. En même temps que le « défi ” du Brexit, le secteur doit faire face à un recul des ventes sur le marché britannique, qui représente 21 % de ses débouchés. Le déclin a frôlé 10 % au premier semestre. Le pouvoir d’achat des Britanniques s’effrite depuis le début de l’année. L’inflation, poussée par le recul de la livre sterling, progresse plus vite que les salaires. Les exportations résistent mieux, avec une baisse limitée à 0,9 %. Au total, les usines du Royaume-Uni ont livré 867.000 véhicules au cours des six premiers mois de l’année, l’importation automobile anglaise 3 % de moins que l’an dernier. Le Brexit n’explique pas tout. Une partie du recul, l’importation automobile anglaise est provoquée par les variations des cycles de production (nouveaux modèles, etc.). La production devrait rebondir dans la deuxième partie de l’année, prévoit le SMMT. Il n’empêche, l’incertitude qui règne en Grande-Bretagne conduit le lobby à revoir à la baisse ses prévisions de moyen terme. Brexit l’angleterre, L’automobile britannique prévoyait jusqu’à présent d’atteindre deux millions de véhicules en 2020, battant son record historique de 1972. Cet objectif ne pourra finalement pas être atteint aussi vite.