Le brexit consequences pour octobre 2019 pour vos import autos
Le spectre d’une sortie de l’Europe de la part du Royaume-Uni est plus présent que jamais, à quelques jours de la date limite accordée par Donald Tusk, le président du Conseil européen, aux Britanniques. L’Europe veut que le Royaume-Uni s’engage ou sorte de l’Union Européenne au plus tard le 12 avril, pour le brexit angleterre afin d’avoir le temps de préparer les élections européennes dans le cas où l’option ‘Remain’ pour le brexit automobile uk (rester) serait validée.
Les marques anglaises sont évidemment celles qui se retrouveraient les plus isolées ; elles sont trois : Aston Martin, McLaren et Morgan, dont 100 % des ventes européennes dépendent du lien entre l’Union et le Royaume-Uni. Mais derrière ces marques purement britanniques, on retrouve le groupe Jaguar Land Rover concernant le brexit angleterre , dont 93 % des véhicules écoulés en Europe ont une dépendance similaire et le brexit consequences.
Avec 52 % de ses revenus concernés, Honda est également soumis à l’inquiétude d’un potentiel Brexit sans accord et la fermeture de son usine de Swindon, la seule qu’elle possède sur le territoire britannique, n’est peut-être pas étrangère aux risques liés à cette sortie totale de l’Europe. L’usine fermera ses portes en 2022 et officiellement, cette décision est liée au contexte actuel du secteur.
BMW Group, qui possède la marque anglaise Mini, est également concerné à hauteur de 30 % de ses ventes européennes, tandis que cela représente 23 % pour Toyota. Pour Ford et l’alliance Renault-Nissan, ce sont 19 % des immatriculations européennes qui sont touchées, et ce chiffre descend à 16 % pour PSA. VW Group et le brexit consequences, malgré l’ampleur du chiffre concerné pour le brexit angleterre, s’en sort bien sur le plan relatif puisque seuls 13 % de ses véhicules vendus en Europe sont en lien avec le Royaume-Uni concernant le brexit automobile uk.
Le territoire douanier unique sera donc maintenu au moins jusqu’en 2020 pour le brexit angleterre, ce qui laisse très peu de temps aux industriels de tous bords pour s’adapter. La principale problématique de l’accord est celle de la frontière du Royaume-Uni avec l’Irlande du Nord, qui attend d’ailleurs toujours une solution.
Les différents points détaillés dans ce Livre Blanc ne pourront évidement être négociés que si l’accord de sortie fait l’objet d’un vote positif du Parlement britannique le 11 décembre prochain. Les propositions du Royaume-Uni pourraient également ne pas être bien reçues par l’Union Européenne pour le brexit automobile uk. Certains points pourraient être acceptés et d’autres non. Ce climat d’incertitude, bien que plus favorable qu’un Brexit sans accord, fait trembler l’industrie automobile britannique.
Les constructeurs et équipementiers automobiles basés au Royaume-Uni soutiennent l’accord proposé le 25 novembre par Theresa May, bien qu’il ne les satisfasse pas entièrement. Les industriels se démènent en revanche pour dissuader les partisans du « no deal », qu’ils envisagent comme le début d’une grande catastrophe économique et le brexit consequences. Le Royaume-Uni risque en effet de sortir de l’Union Européenne sans accord, et surtout sans période de transition, si jamais le Parlement britannique décidait de ne pas voter en faveur de l’accord.
Ce scenario du pire fait très peur, et pour cause le brexit angleterre! On estime en effet que le Brexit sans accord amputerait le PIB britannique de 9.5% en 15 ans. La sortie de l’UE avec accord ne coûterait en revanche « que » 3.9% du PIB au Royaume-Uni. D’autres chiffres, publiés le mercredi 28 novembre par la Banque d’Angleterre pour le brexit consequences, estime que le produit intérieur brut de la Grande Bretagne chuterait de 8% dès 2019 et que le taux de chômage atteindrait les 7.5% concernant brexit angleterre.