Import Nissan 350Z JDM IMPORT 3.5 V6 TIPTRONIC IMPORT AUTO par UKAUTO
Import Nissan 350Z JDM IMPORT 3.5 V6 TIPTRONIC IMPORT AUTO par UKAUTO
Import Nissan 350Z JDM IMPORT 3.5 V6 TIPTRONIC IMPORT AUTO par UKAUTO. Côté design, les Nissan étaient jugées trop sobres. Concernant la « Z », Nissan Design America fut prié de revoir sa copie. Ce n’est que trois ans plus tard qu’elle entra en production. Elle devait matérialiser le « plan de renaissance » du constructeur. En terme d’image, bien sûr pour cet import nissan
Par rapport à la 240Z Concept concernant cette Import Nissan 350z, la 350Z était plus typée et plus musclée. Le V6 Turbo de la 300ZX avait laissé place à un gros V6 atmosphérique 3,5l à peu près aussi puissant (280ch) mais plus linéaire. Elle revendiquait un 0-100 km/h en 5,9 secondes et 250km/h en pointe. Tout cela au tarif français très « Nissan » de 34 500€. A titre de comparaison, en 2002, un TT V6 (250ch) était facturé 42 670€ et une Porsche Boxster S (260ch), 52 200€ pour cet import nissan 350z!
Jusque-là il y avait de grandes différences entre les « Z » vendues au Japon, celles vendues en Europe et celles vendues aux Etats-Unis. Cette fois, c’était (presque) la même gamme pour tout le monde ! Dès 2004, le coupé fut secondé par un roadster. Puis Nissan fit sortir le label NISMO hors de l’archipel. Dernier changement, en 2007, le V6 passa à 310ch pour la 350z jdm.
Effet Fast & Furious
Entre temps pour cet import auto, une nouvelle génération d’acheteurs était arrivée. La maman de Monsieur Smith Jr l’emmenait à l’école en Toyota LiteAce. Sa première voiture était une Honda Civic. Il fêtait son premier job d’encadrement en se payant une Lexus. Alors s’offrir un gros coupé japonais, pourquoi pas ? Il n’avait plus d’a priori.
Nissan put aussi remercier Fast & Furious. Ce film date de 1999 et on n’y voit pas de 350Z. En revanche, il leva le voile sur le monde fascinant des courses de rues californiennes. Dans cette culture, les sportives japonaises y tenaient une place de choix. Le succès planétaire du film déclencha un véritable engouement pour les voitures du Soleil Levant, de la GT-R aux Subaru WRX et Lancer Evo, qui récoltaient alors également les fruits des succès en WRC en terme de notoriété pour cet JDM IMPORT.
La 350Z arriva au bon moment; désormais les japonaises avaient aussi leur mythe. S’ajouta ensuite l’arrivée de jeux comme Gran Turismo concernant cet import Nissan, plein à craquer de modèles japonais présents mais aussi passés. Et plus généralement, le développement rapide du web permit à la culture populaire japonaise de rayonner pour cet import auto.
La 350Z fut le premier gros coupé japonais à avoir une légitimité hors de ses propres terres. La route était défrichée pour la GT-R, la Lexus LFA et évidemment, la 370Z, en 2008. Nissan était si fier de la Z qu’elle apparaissait sur les en-têtes de la marque. Pour ceux de l’Alliance, elle posait avec une Megane CC.
Au final, il se vendit plus de import Nissan 350Z, rien qu’aux Etats-Unis, en 6 ans, que de 300ZX sur l’ensemble du globe, en 12 ans.
L’histoire de la série Nissan Z, commence à 1984 avec la première série de 300ZX, qui peut être considéré comme un ancêtre du 350Z d’aujourd’hui, produit dans d’autres modèles, dont la plus récente qui se sont appréciées dans la version turbo, mais le véritable précurseur de la 350Z est la Datsun 240Z la 1969.
Enfin bref revenons en à l’actualité !
Lawrys tout nouveau propriétaire d’une Nissan 350Z est heureux de vous présenter son nouveau coupé sportif.
Nous sommes allés chercher le véhicule , le temps était gris et terne mais l’envie d’aller récupérer la machine nippone cassait cette morosité pour cet jdm import.
Tout de suite lors des phases d’accélération cette propulsion commence à nous montrer ses petites dérives du train arrière. Le temps facilitait les choses car il faisait froid et humide et il faut dire que les pneus montés à l’arrière de la marque « Sun » ne sont pas d’une super qualité.
C’était la première fois que je montais dans une 350Z et Lawrys c’était la première fois qu’il en possédait une. En toute première impression bien que sachant que c’était un V6 je fus bluffé par le couple que proposait la voiture. Cette nippone est aux antipodes de ce qu’il se fait actuellement sur le marché avec des quatre voir trois cylindres turbo compressé donnant l’illusion d’accélération un peu creuse pour cet import Auto.
Ici que nenni !
Son 3,5L atmosphérique à la fois souple et brutal quand on lui demande répond présent partout.
Sur le retour nous étions sur les routes de l’Ain avec ses grandes lignes droites interminables traversant les villages pour ce JDM import, et là pour le coup pas besoin de rétrograder dans tous les sens grâce à ce couple.
Ce gros moteur ainsi que la boîte ont une bonne allonge ce qui permet de cruiser sur ses grandes lignes droite et de ne pas rétrograder au moindre freinage.
Une voiture qui a soif, mais en achetant une Nissan 350Z dur d’avoir la même consommation qu’une Nissan Leaf .
En moyenne en conduisant de manière normale c’est à dire sans exagérer sur les accélérations il faut compter aux alentours de 10 litres avec cette boîte manuelle pour cet import Nissan 350 Z. Rajouter 1,5L de plus pour une boîte automatique.
En rentrant tranquillement nous étions à 10 litres de consommation en mixte pour cet JDM IMPORT.
Forcément les consommations en ville s’envolent pour arriver à une vingtaine de litres.
Nous avons du nous arrêter pour remettre de l’essence, avec un réservoir de 80 litres vous pouvez compter 90 euros le plein. Bien sur tout dépend de ce qu’il vous reste dans le réservoir et de ce que vous prenez comme essence. Pour notre part nous n’avons pas eu le choix nous avons mis du sans plomb 95 pour cet Import Nissan 350Z, le sans plomb 98 n’était pas disponible dans la station service dans laquelle nous étions.
Pour en conclure avec la consommation de cet import auto, celle-ci n’est pas excessive au vu de la motorisation.
La 350Z que nous sommes allés chercher est complètement d’origine, aucune modification n’a été apporté au véhicule.
D’origine ce n’est pas un véhicule bruyant, c’est même surprenant.
J’étais tellement habitué à les voir en vidéo ou à en croiser en vrai avec des lignes qui peuvent dans certain cas sortir des flammes de 3 mètres (et j’exagère à peine) que ce calme était troublant pour cet 350Z JDM.
En revanche une fois que l’on monte en régime nous commençons à entendre le moteur s’énerver et ça commence à devenir grisant. Au ralenti pas de bruit, entre 1500 et 3000 tours cela reste assez calme mais une fois que nous franchissons la barre des 3000 tours la sonorité se développe pour nous pousser au vice de ce JDM IMPORT.
Le choix de cette voiture c’est fait pour le look, pour le prix abordable et surtout pour le fun qu’elle apporte.
Quelques points à regarder avant l’achat
Avant d’acheter une 350Z, vérifiez bien que les entretiens ont été réalisés avec les factures.
Le bloc est d’une grande fiabilité. Le seul défaut connu est celui des poussoirs qui peuvent prendre du jeu notamment sur la version 280 chevaux.
A vérifier l’embrayage qui peut présenter des signes d’usure.
D’ailleurs la pédale d’embrayage offre une belle résistance.
Ce qu’il faut retenir c’est que la Nissan 350Z est équipée d’origine d’un autobloquant, ce qui n’est pas si courant sur les sportives modernes. La direction est précise et directe. Les freins brembo offrent (pour de l’origine) déjà de quoi répondre à votre usage quotidien. Elle est équipée d’un ESP qui peut se déconnecter (avis aux amateurs de sensations) mais qui peu vous servir dans bien des situations.
Le 3,5L V6 atmosphérique développant à 4800 tours minutes de cette 350Z JDM, 353 nm saura vous ravir par ses sensations.
Autant séduisante de par sa sonorité que par ses lignes en passant par son couple moteur. Celle-ci saura vous plaire à chaque coup de clé que vous mettrez pour vivre de votre passion.
Avantage de son implantation mécanique à l’avant, le coupé Nissan 350Z offre un coffre arrière qui s’ouvre avec un grand hayon et dont le volume appréciable est cependant entravé par la barre anti-rapprochement qui charpente l’essieu arrière. Preuve de sa conception sportive et de la recherche de rigidité qui en découle, cette barre trouve aussi sa justification dans le fait que le 350Z prévoyait dès le départ une version 350Z Roadster, sortie en 2004. Autre avantage de ce coffre, il est directement accessible depuis l’habitacle, derrière les sièges. On regrette alors que Nissan ne livre pas de série le couvre-bagage qui va avec. A ce niveau de standing, ce genre d’option semble mesquin tant elle paraît indispensable. Les deux places offertes à bord sont plutôt accueillantes. La position de conduite est parfaite.
Parlons vitesse justement, puisque le coupé Nissan 350Z est en partie conçu pour cela. Propulsé par une version revisitée du V6 de la Renault Vel Satis, le coupé japonais s’offre un des plus beaux organes sonores de la production actuelle de cet import Nissan. Ce bloc dénommé VQ35DE est un 6 cylindres en V à 60° de 3498 cm3 à 24 soupapes. Le gain en puissance a été obtenu par l’adoption d’un nouveau collecteur d’admission et d’échappement, un diagramme de distribution variable en continu spécifique. Le programme d’injection et d’allumage a bien évidemment été modifié en conséquence. De 235 chevaux sous le paquebot français, le V6 passe donc à 280 chevaux
0 à 100 Km/h en 5″9, 26″2 pour le 1000m DA, c’est mieux qu’une Clio V6 ou une Audi TT V6. Sur les reprises, le couple fait parler la poudre et la Nissan 350Z vous propulse de 90 à 120 Km/h en 7″ sur le dernier rapport de la boîte 6. La vitesse maxi est limitée à 250 Km/h, ce qui n’est plus un argument majeure de nos jours. Bien étagée, la boîte à tringle est plutôt ferme mais grâce à des débattements précis et courts, elle est comparable aux commandes Bmw. Elle surpasse en agrément et en rapidité les systèmes à câbles dont le seul avantage est de réduire les vibrations dans le levier. Un arbre de transmission en carbone est chargé de passer toute la puissance du moteur aux roues arrières qui sont par la même occasion secondée par un différentiel à glissement limité par viscocoupleur de la 350z jdm, bien plus efficace qu’une bride électronique dont sont de plus en plus affublées les sportives modernes et JDM IMPORT.
La 350Z possède un châssis très rigide car prévu dès le début pour la version cabriolet qui suivra prochainement. Les essieux sont également sophistiqués, il s’agit de système à triangles superposés composés de triangles supérieurs et de bras inférieurs, complétés de barres anti-roulis avant et arrière. Plus lourde qu’une Porsche Cayman de cet import auto , ou un coupé BMW Z4 3.0Si, la Nissan 350Z n’en est pas moins progressive et plaisante à conduire, notamment grâce à sa direction à assistance hydraulique dont le feeling est vraiment excellent. Très précise, elle permet de bien sentir et tenir l’auto, quelle que soit l’allure. Aucune remontée parasite ne vient perturber un guidage optimal et communicatif. Plutôt sous-vireuse pour une propulsion, la 350Z par sa répartition des masses légèrement supérieure à l’avant et la présence du DGL n’est jamais surprenante de cet import nissan 350z.
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